1 / Rogner sur le sommeil pour pratiquer son sport ouvre l’appétit La ghréline responsable de nos pulsions alimentaires, est une hormone qui nous ouvre l’appétit lorsque le sommeil nous manque. A l’opposé, dormez sereinement et ce sera la leptine qui sera sécrétée. Cette dernière augmentera notre rassasiement. Et oui, dormir peut faire maigrir !
2 / Manger dans la précipitation
Le message de satiété n’est transmis au niveau de l’hypothalamus ventro-médiant (une partie du cerveau) qu’au bout de 20 minutes donc en mangeant sur un coin de table, vous aurez toutes les chances de manger trop et de vous sentir ballonnée en fin de repas.3 / Ne pas mâcher suffisamment
Encore un coup des hormones… Cette dernière nommée histamine est sécrétée lors de la mastication et envoie également un message de satiété à l’hypothalamus.4 / Ne pas prendre d’entrée
Riches en eau et en fibres, les crudités combleront vos papilles et votre estomac afin de ne pas laisser traîner ses mains dans la corbeille à pain ou sa fourchette dans la plâtrée de pâtes. Donc tout schuss sur les concombres sauce fromage blanc moutardé ou les tomates vinaigrette colza-basilic !5 / Tout miser sur le Jus de Fruits au petit déjeuner
Et oui, que votre jus d’orange soit bio, 100% fruits, sans sucre ajouté ou même pressé minute, il n’arrivera jamais à la cheville d’une orange entière dégustée quartier par quartier. En effet, le sucre naturel de votre jus de fruit arrivera bien plus vite dans le sang que votre fruit entier frais : un pic glycémique rapide qui aura un effet rebond tout aussi fort : vous induire à court terme des envies de retourner vers un produit sucré.
6 / Faire un sortie running à jeun trop longue ou / et trop rapide Privilégier 1-2 sorties à la cool « en aérobie » n’excédant pas 40 minutes qui brûlera principalement vos réserves en graisse demeure envisageable. Persévérer sur des sorties longues ou le fractionné à jeun aura pour conséquence un phénomène de protéolyse. Concrètement, ce sera votre muscle qui fondra et point votre gras.
Comme l’activité sportive, l’alimentation devra rester régulière sans opérer de grands écarts sinon il vous le rendra assez lourdement…
7 / Eliminer toutes les graisses sous prétexte que c’est un max de calories
Sachez que, contrairement aux produits sucrés, les graisses sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme et en prévention des blessures. Elles boostent le système immunitaire grâce à la vitamine E notamment. L’essentiel restant de bien les choisir : huile de colza par exemple pour l’assaisonnement et huile d’olive pour la cuisson…8 / Ne plus grignoter mais consommer des fruits secs, l’aliment santé…
Oui mais… c’est bien beau de penser bonnes graisses, protéines végétales et fibres mais avec modération s’il vous plaît !! Une poignée vous vaudra le même apport calorique qu’une barre chocolatée Kinder Bueno pour ne pas la nommée…9 / Ne pas consommer assez de protéines
Qu’elles soient animales (viande, poisson, œuf, produits laitiers) ou végétales (lentilles, quinoa, soja), sachez que moins vous en consommerez plus vous risquez de perdre du muscle surtout lorsque vous pratiquez en sport d’endurance sollicitant beaucoup les fibres musculaires. Et qui sous-entend perte de muscle, dit moins de calories brûlées par jour au quotidien.10 / Se priver la semaine en vue d’anticiper les futurs excès
Avec un apport en combustible trop faible, votre chaudière va toujours fonctionner, mais au ralenti. Pour être concret, plus vous vous privez, moins votre corps consommera de calories au quotidien. Et en parallèle lors de vos excès, le corps stockera plus en vue de la future famine du lundi.Comme l’activité sportive, l’alimentation devra rester régulière sans opérer de grands écarts sinon il vous le rendra assez lourdement…